« Élections, piège à cons! ». C'était le slogan des soixante-huitards attardés de mai 68 dont la paternité en revient à Jean Paul Sarte, un des nombreux signataires «  progressistes  » de la pétition pour la légalisation de la pédophilie avec Simone de Beauvoir, Jack Lang, Bernard Kouchner, Louis Aragon, André Glucksmann...tous ces vieillards qui aujourd'hui, encore vivants, partagent les « valeurs » de l'Europe.

Et si maintenant les élections étaient devenues un vrai piège à cons..? On peut légitimement se poser la question quand au fait de la dégénérescence et de la décadence du pouvoir et des élus censés représenter les français.

Qui gouverne aujourd'hui les États de l'UE ??? si ce ne sont que quelques individus non élus qui siègent à Bruxelles et légifèrent contre la volonté des peuples de ces nations. Les élus nationaux ne sont plus que des pantins dont les ficelles sont manipulées par quelques minorités européistes qui représentent les lobbys extrémistes issus de l'Open Society Foundations de Soros.

L'Europe a tué la démocratie puisque le pouvoir souverain des peuples lui a été délégué par ses même pantins.

Cette Europe qui exige à des pays récalcitrants à ses diktats, de respecter ses « valeurs » n'est pas légitime, elle l'est d'autant moins que quand la France dirigée par le pantin Sarkozy organise un référendum sur l'Europe, persuadé que les électeurs étaient acquis à sa cause, se torche le derche avec les résultats pour passer le traité scélérat en force. Cette Europe est très mal placée pour donner des leçons de démocratie.

Nos zélites se disent émues du faible taux de participation, mais ses partis prétendument républicains comme le PS, le PC, la FI, EELV et la Rem ont prouvé qu'ils étaient miscibles entre eux, donc rien d'étonnant que leurs électeurs n'aient plus envie de voter pour ces renégats.

Rien d'étonnant non plus que l'abstention soit devenue le premier parti du pays.

Quand à Marine le Pen, à force de vouloir dédiaboliser son parti, elle aura fini par le rendre invisible en faisant fuir ses électeurs, et au lieu de critiquer Eric Zemmour, elle aurait mieux fait de suivre ses conseils et de les appliquer. Au contraire, elle se dilue dans les idéologies bien pensantes de ses adversaires  et s'en vante sur la radio d'extrême gauche de France Inter.

Elle dit croire à un islam des lumières compatible avec la république et ne croit plus au grand remplacement qui pourtant éclate aux yeux d'une majorité de français.

Elle ne juge plus nécessaire de quitter la cour européenne des droits de l'homme, une boutique des idéologies d’extrême gauche américaine qui est pourtant une des sources de la perte totale de la souveraineté française et nous oblige à accueillir les clandestins et les idéologies extrémistes des obsédés du slip qu'Ursula von der Leyen appelle les « valeurs » de l'Europe.

Si au moins durant sa campagne, elle avait dénoncé les subventions accordées généreusement aux associations de passeurs de clandestins avec l'argent des contribuables, tant par les départements que par les régions, elle aurait peut-être réussi à déplacer quelques électeurs.

Marine le Pen fait payer cher à son parti, les conséquences de sa chiraquisation.

 Chirac, c'était celui qui avait déclaré le 19 juin 1991 "le bruit et l'odeur" pour dénoncer une certaine immigration friande de couscous, et lorsqu’il a été élu, les odeurs et les bruits n'incommodaient plus le locataire de l'Elysée, bien au contraire.