Ou plus hiérarchiquement, Emmanuel Pétain aux ordres de Papa Scholz aux ordres d'Adolph Biden.

https://www.lefigaro.fr/conjoncture/la-france-a-commence-a-livrer-du-gaz-a-l-allemagne-selon-grtgaz-20221013

Sous les ordres de Biden, et malgré le risque de déficit, la France de Macron a commencé à livrer du gaz à l'Allemagne pour sauver leurs entreprises, il appelle ça la solidarité européenne. Mais quels sont les abrutis qui ont remis ça au pouvoir? Il est prêt à couler les entreprises françaises pour sauver celles de l'Allemagne. Déjà qu'il a bradé le peu d'entreprises françaises qui survivaient principalement à ses amis américains: la vente de la branche énergie d'Alstom à l'entreprise américaine Général Electric...Un pacte de corruption qui confirmerait l'hypothèse selon laquelle Macron avait bénéficié lors de sa campagne d'appuis financiers anonymes bien supérieurs à ceux autorisés par la législation. Il a autorisé la cession de l'équipementier télécoms Alcatel-Lucent au finlandais Nokia, le parapétrolier Technip à l'américain FMC et l'aéroport de Toulouse-Blagnac à la Chine...etc. Toute cette désindustrialisation qui vient s'ajouter au nombre impressionnant d'entreprises déjà vendues à l'étranger par ses prédécesseurs européistes. 

C'est de la haute trahison, on n'en a fusillé pour moins que ça.

Pour vous consoler, vous pouvez toujours brûler des cierges en espérant que l'hiver ne sera pas trop rude...en même temps les cierges peuvent vous réchauffer les mains... sinon il reste la branlette pour les célibataires.
En même temps si la planète se réchauffe tant mieux, nous aurons moins besoin d'énergie pour se chauffer, alors mettez vite vos gros diesels en route pour avoir des hivers plus doux, donc moins besoin de chauffage et plus besoin de cols roulés qui grattent.

Notre crétin national n'a pas compris que l'Allemagne suce l'Europe comme elle l'a toujours fait et que papa Scholz se fout bien de sa gueule...et de la nôtre par le même occasion.
L'histoire est un éternel recommencement, les mêmes guignols se succèdent, mais cette fois on n'aura plus un de Gaulle pour changer son cours.