Le pouvoir de nuisance du service public de l'idiot visuel n'a plus de limites.

https://www.bvoltaire.fr/apres-mediapart-france-2-stanislas-derange-le-service-public/

La gauche alliée à l'extrême gauche bénéficie de l'argent public pour diffuser son venin sur les ondes du service public tant dans ses téléfilms que dans ses reportages.

Cette fois encore, c'est le lycée Stanislas qui est de nouveau dans la cible des propagandistes de l'émission « complément d'enquête » de Rance 2.

Ils ont la haine des écoles privées qui jouent un rôle pédagogique de l'excellence que l'école publique a oublié au profit de la propagande politique d'extrême gauche, surtout quand les écoles privées sont catholiques. Par contre, elles ont leur bénédiction si elles sont de confession musulmane.

Ils ne supportent pas que de jeunes élèves puissent échapper à l'influence néfaste du wokisme qui submerge l'école publique.

En partenariat avec le média d'extrême gauche « 20 minutes », les incultes du « service » public s'investissent aussi dans le révisionnisme de l'histoire de France :

https://www.20minutes.fr/arts-stars/culture/4111579-20241006-france-2-histoire-france-serie-documentaire-deconstruire-roman-national

« France 2 : « Notre histoire de France », une série documentaire pour déconstruire le roman national »

« L’un des enjeux du programme est de « déconstruire un certain nombre de mythes provenant du Roman national, c’est-à-dire des réécritures de l’histoire pour la mettre au service de certaines idéologies, nationalistes ou autres, et influencer le présent au regard de cette réécriture », indique Nicolas Daniel, directeur des magazines de France Télévisions. » Du wokisme à anglo-saxon dans toute sa splendeur. On apprendra bientôt que Charles Martel était un fasciste raciste d'extrême droite qui assassinait les sarrasins. Déjà qu'ils désinforment le public sur l'actualité contemporaine, ils ont la prétention de nous informer sur un passé dont ils ignorent tout.

Et pendant ce temps là, les melons de Cavaillon incendient des voitures de police en toute impunité dans le silence complice de ce même « service » public.