En bon centriste, Macron a toujours le pot d'échappement entre deux chaises, et le fait d'écarter les fesses pour asseoir sa souveraineté sur la chaise de la droite molle jusqu'à celle de l'extrême gauche, ne pouvant plus retenir ses sphincters, il sème ses fientes partout.

En allant discourir Chez « Brut », il a désavoué son ministre de l'intérieur et les forces de l'ordre en créant une autre imbécillité dont il a le secret : Une plateforme nationale de signalement des discriminations, gérée par l'Etat, le défenseur des droits et des associations...une autre boutique de délation où les gauchistes vont encore pouvoir s'épanouir.

Darmanin a prouvé qu'il n'a rien dans le pantalon, il recule sur l'article 24 prouvant l’insincérité de ses propos face à la police, alors qu'après le camouflet que lui a infligé son lâche président, il aurait dû en profiter pour démissionner en le laissant face à ses contradictions.

Brut est un média sur mesure pour enrôler les plus jeunes dans les délires « progressistes » de la gauche, un France inter pour la génération Dorothée. Macron se sent proche d'eux déjà parce qu'il a pratiquement le même âge, du moins niveau mental...il est mal élevé, il a les mêmes aspirations, il est pote avec Cohn Bendit qui lui aussi détestait la police en 68 et qu'il est le plus grand faux-cul de la cinquième république.

Historique de Brut :

Ex militant à l'UNEF et à la LCR, après avoir rejoint « Le Grand Journal » de canal+, le « pépé » de 62 ans Renaud Le Van Kim créé Brut en novembre 2016, un journal de propagande pour les jeunes les plus manipulables, avec Mathias Hillion (ex producteur éditorial du Grand journal sur Canal + et producteur de C politique sur France 5), Laurent Lucas (ex-rédacteur en chef adjoint du Petit Journal) et Roger Coste (ancien responsable de la régie publicitaire de Canal +).

Depuis février 2017, la régie publicitaire de France Télévisions s'occupe de monétiser l'audience et certaines vidéos sont visibles sur le site et la chaîne France Infox.

Son credo est la diversité, l'environnement ou encore le droit des femmes, il est financé de trois façons : La publicités pour des marques (Netflix, Société générale, Leboncoin, etc) ou pour le gouvernement français, qui reprennent les codes des vidéos réalisées par Brut. La deuxième est une activité de publicité classique assurée en totalité par France Télévisions. La troisième est le conseil aux entreprises en matière de publicité.

En janvier 2019 « Arrêt sur images » pointe le « silence » de Brut, du Monde et de Télérama, deux autres médias gauchistes, sur les « accusations de violences sexuelles portées par plusieurs femmes à l'encontre du cinéaste Luc Besson », actionnaire avec 39% du capital de Brut . Une contradiction avec la ligne éditoriale de Brut telle que la décrit son directeur des publications Laurent Lucas, celle-ci se « focalisant sur le féminisme, les luttes contre les discriminations, l’environnement et le traitement de la culture sous un prisme sociétal » ...que du beau monde comme l'aime leur ami Macron.