Durant son discours en Nouvelle-Calédonie, Pinocchio a, sans surprise, pris le parti de la gauche délinquante contre la police française. Quand il dit que nul n'est au dessus des lois, il devrait jeter un regard sur lui-même et sur ses proches ( on ne compte plus le nombre de repris de justice qui compose sa majorité)...et cesser de protéger les députés délinquants de l'extrême gauche de Mélenchon qui depuis leur arrivée à l'assemblée n'ont de cesse d'appeler à la casse et à la violence contre les forces de l'ordre. Chacun profite de la mansuétude des juges du syndicat de la magistrature qui eux-mêmes se sont placés au dessus des lois sans jamais être inquiétés.

Alors mettre un policier en détention préventive alors qu'il n'y a pas eu encore de procès est un acte de déni de justice, toute la procédure étant fondée sur le témoignage d'autres délinquants à charge contre la police, sans tenir compte du fait que ces jeunes répondant aux directives de l'extrême gauche d'EELV et de Mélenchon, n'étaient pas là pour manifester paisiblement mais pour casser du flic et piller. Le comble, c'est que ces mêmes magistrats ne mettent pas certains délinquants en détention sous prétexte du manque de places, mais trouvent toujours une place disponible quand il s'agit d'un policier. Quand au respect du sempiternel État de droit ; il y a bien longtemps qu'il a été remplacé par l’état de gauche : Avec la bienveillance du pouvoir actuel, une minorité d'activistes de gauche impose sa dictature à une majorité de français qui pourtant exprime son opposition à cette minorité dans les sondages en soutenant les forces de l'ordre. Selon les sondages, les français font plus confiance à leur police qu'à leur justice, et pour cause quand on voit des propriétaires à la rue à cause de squatters, ou le traitement de faveur accordé à leurs agresseurs.

Mais ce n'est pas le tout d'être en accord avec les sondages, il faut aussi le concrétiser dans les urnes en se sortant les doigts du cul, déjà c'est plus efficace pour concrétiser les desiderata des électeurs et plus aisé pour déféquer. ( Excusez-moi pour cet instant trivial, j'ai vu « le meilleur de la revue de presse » sur Paris première hier soir, ça inspire et ça détend.) On peut comparer les abstentionnistes qui râlent à des constipés chroniques, ils serrent les fesses dés qu'ils ont la possibilité de vider leurs entrailles. Ça fini par leur donner mauvaise haleine.

Il faudrait réformer les écoles de la magistrature en obligeant les étudiants à faire un stage d'au moins une année avec la police qui gère la délinquance des quartiers chauds des grandes villes, ça leur donnerait une idée ce qu'elle subit quotidiennement.

Prenons le cas du petit ange qui a rejoint le paradis de Mahomet grâce à l'intervention d'un policier. Si ce policier n'était pas intervenu, que ce serait-il passé ?

Comme certains français ont la mémoire courte, voici un rappel de ce qui aurait pu être la suite naturelle des événements si ce policier n'était pas intervenu :

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/toulouse-deux-pietons-entre-la-vie-et-la-mort-apres-un-refus-d-obtemperer-20220904

Cette fois les policiers ont fait le job comme préconisé par une certaine caste de gauche ... Bilan : deux personnes innocentes entre la vie et la mort. Alors bien sûr le préfet de région a «salué l'engagement et le courage des services de secours et de la Police Nationale.» mais les victimes elles, personne ne s'était inquiété de leur devenir, on ne sait même pas si elles sont encore vivantes aujourd'hui, alors forcément il n'y a pas eu d'émeutes puisque apparemment les délinquants se portent bien.

Des cas comme celui-ci, il y en a des centaines par an sans que ça émeuve les grands défenseurs de l'état de gauche.

PS : Macron aurait eu le culot de dire aussi à propos des émeutes : « Nous y avons mis fin au bout de quatre jours... » Omettant bien de préciser que si c'est grâce au courage des forces le l'ordre, c'est aussi grâce aux dealers qui ont mis fin à la récréation qui entravait leur business que son gouvernement n'a pas la volonté de faire cesser.