Accusant implicitement Eric Zemmour d'avoir voulu réhabilité Pétain en déclarant ce que de nombreux historiens avaient déjà constaté, à savoir que Pétain aurait sauvé des juifs français de la déportation. Macron a donc promis de se battre contre ce qu'il appelle l'extrême droite...Il va donc continuer à envoyer ses chemises noires qui se font appeler antifa ou autres black bloc pour combattre physiquement ceux qu'il nomme des extrémistes de droite...?

«Gardons-nous de manipuler l’histoire, de l’agiter, de la revoir. Cette histoire, nous l’avons vécue, elle est écrite par les historiennes et historiens, et c’est une bonne chose de s’y tenir.» a-t-il déclaré.

Mais qui mieux que Macron aura réhabilité le maréchal Pétain quand le 10 novembre 2018, il lui rendait hommage aux invalides ? Déjà son prédécesseur Mitterrand, décoré de la francisque des mains du maréchal Pétain, a fait fleurir la tombe du maréchal de 1986 à 1992.

Faut-il aussi lui rappeler que la SFIO, l'ancêtre du PS, avait voté aux deux tiers les pleins pouvoir au maréchal... et que Pierre Laval était aussi un ancien de la SFIO

Alors bien sûr on comprend bien que Macron n'a pas envie qu'on remue un passé historique qui donne une image plutôt négative du passé du parti dont il est issu, il préfère choisir ses historiens bien ancrés à gauche comme pour son « devoir de mémoire de la guerre d'Algérie » qu'il a préféré confier au trotskiste Benjamin Stora, ancien sympathisant du FLN.

Les historiens sont comme les journalistes subventionnés, si on les arrose suffisamment, ils sont prêts à réécrire l'histoire à la convenance de leurs généreux donateurs.

Des historiens sur mesure qui sont les faire valoir pour réhabiliter la gauche collaboratrice, ils sont comme les "vedettes" du show-business, seuls ceux qui sont proches des idéologies de gauche ont le droit de citer.

Parmi eux, il y a Henry Rousso qui a soutenu la candidature de Ségolène Royal lors de l'élection présidentielle de 2007 ainsi que celle de François Hollande, en 2012. Il a signé de nombreuses pétitions, notamment, en 2007, contre la création d'un « ministère de l'immigration et de l'identité nationale » sous Nicolas Sarkozy, affirmant que « la société française s'est construite à travers les immigrations, comme un creuset intégrant la pluralité, s'enrichissant d'elle ».

Le 25 avril 2017, il fait partie des signataires d'une tribune de chercheurs et d'universitaires annonçant avoir voté Emmanuel Macron au premier tour de l'élection présidentielle française de 2017 et appelant à voter pour lui au second, en raison notamment de son projet pour l'enseignement supérieur et la recherche.

Il y a aussi Olivier Wievorka qui s'autoproclame spécialiste de la Seconde Guerre mondiale.

Dans son livre Histoire du Débarquement en Normandie, des origines à la libération de Paris, il écrit que « des soldats canadiens d'origine indienne » ont scalpé des prisonniers. L'historien canadien Scott Sheffield, professeur à l'université de la vallée de Fraser à Abbotsford, en Colombie-Britannique, spécialiste des autochtones au sein de l'armée canadienne pendant la Seconde Guerre mondiale, réfute cette affirmation : « Je me suis entretenu avec plusieurs vétérans autochtones et non autochtones, j'ai parcouru des tonnes d'ouvrages sur la question en plus de fouiller dans à peu près tous les documents d'archives. Je n'ai jamais lu ou entendu quoi que ce soit à ce sujet. »

Il collabore également au cahier Livres du journal d'extrême gauche Libération.

A noter aussi les références philosophiques assumées du maréchal Macron: “Jürgen Habermas, ex-Hitlerjugend, et Paul Ricœur, ex-pétainiste”.