Comme si elle était indispensable pour inspecter les travaux des JO de 2024 à Tahiti, Anne Hidalgo était partie initialement pour visiter le site qui accueillera les épreuves de surf, sauf qu'elle n'a pas visité le site par peur d'affronter les autochtones qui n'ont pas apprécié que la mairesse socialo-écologiste démolisse leur environnement. 

En effet, la construction d’une tour d’arbitrage en aluminium pour l’épreuve de surf des JO provoque des remous chez les locaux. Depuis mi-octobre, plusieurs manifestations se multiplient, associations et riverains dénonçant une infrastructure qui pourrait dégrader, selon eux, les fonds marins et nuire à la biodiversité de Teahupoo.

N'écoutant que son courage légendaire digne de son engagement socialiste, elle a donc envoyé un de ses sous-fifres affronter les justes colères des habitants.

Ayant l'esprit pratique et ne voulant pas manquer une si belle opportunité, elle en a profité pour allez se faire bronzer la pilule sur l'île de Raiatea à 40 minutes de Papeete. Sans doute pour étudier les sites parisiens encore vierges qu'il reste encore à détruire.

Mais son entourage nous a rassuré, elle a payé de ses deniers ce voyage aller-retour Papeete-Raiatea, l'honneur est donc sauf. Puis, détruire une ville de la taille de Paris est un travail de titan... c'est épuisant, ça mérite bien quelques jours de vacances payées par les contribuables non ?

Dans les faits, elle n'a jamais eu l'intention de visiter le site, mais l'occasion était trop belle de se payer un voyage aux frais des contribuables pour rejoindre sa fille...socialiste un jour, socialiste toujours. Elle a même appris à danser le tamouret sur un air de flamenco.

Paris martyrisé, Paris outragé, Paris défiguré, c'est maintenant Tahiti qui risque de subir le même sort.

Elle a de nombreux points communs avec Macron et Hollande, ils sont tous issus du dépensier parti socialiste : folie des grandeurs mégalomaniaques, dilapidation de l'argent public, mépris du peuple, démolition de la nation...

Le groupe politique d'opposition de la mairie de Paris rappelait les « 20 voyages dans le monde » de la maire, à titre officiel, depuis sa réélection en 2020, équivalant selon lui à un bilan carbone de « 51 tonnes de CO2 ».

Espérons pour les tahitiens qu'elle n'a pas importé des rats, pardon...des surmulots dans ses bagages pour leur faire partager la diversité écologique de la capitale.