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Le professeur Défraîchi a enfin admis, certes à demi mot, que ce qu'on appelle le « vaccin » anti covid n'est pas un vaccin, mais un médicament qu'il nomme pour la circonstance, un «  médicament vaccin  ». Un vaccin chacun sait ce que c'est : Il n'y pas de semi variole atténuée ou de diphtérie avec des formes moins graves pour les vaccinés, les vaccins immunisent d'une maladie et empêchent sa contagion pour au moins une dizaine d'années.

Quand un médicament est inoculé à des millions de personnes en bonne santé juste par prévention, il faut oser, c'est comme si on faisait prendre de la Trinitrine à tous les français pour prévenir l'angine de poitrine.

Ce qu'ils ont appelé « vaccin » devait protéger et immuniser les gens à plus de 90%, au final et après un an de cobayes vaccinés, les gens sont quand même atteints par le covid, pire les vaccinés sont aussi contagieux que les non vaccinés. Il leur reste comme seul argument que ce « médicament vaccin » protégerait des formes graves... : Gymnastique : anti-vaccin mais vacciné, un champion hongrois décède du Covid-19 . Les génies de la secte scientifique vont peut-être nous dire que le vaccin n'a pas fonctionné parce qu'il n'avait pas la foi...

Officiellement, pour ne faire obstacle au dogme, ils ont donné une version plutôt vaseuse à cet echec parmi d'autres : Szilveszter Csollany a ainsi reçu une injection du sérum unidose Janssen. Mais elle a été effectuée peu de temps avant qu'il ne tombe gravement malade et il n'a pu développer un niveau suffisant d'anticorps, selon le tabloïd Blikk... sauf que de nombreuses personnes vaccinées ont souvent développé le covid peu de temps après l'injection, heureusement rarement mortel.

PS : 
Le 5 janvier, le journal officiel (JO) actait la démission du Pr François Alla du Haut conseil de la santé publique (HCSP) Ex vice-président de la commission « maladies chroniques » du HCSP, le praticien hospitalier, chef du service de soutien méthodologique et d’innovation en prévention au CHU de Bordeaux, confie au « Quotidien » les raisons de son départ. Il considère que le « Haut conseil » ne dispose pas des moyens suffisants pour mener à bien ses missions. Et juge que les expertises des scientifiques du HCSP sont dévoyées par les politiques.

Voir l'article du Quotidien du médecin : https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/pr-francois-alla-jai-demissionne-du-haut-conseil-de-la-sante-publique-car-les-experts-nont-pas-joue

Ou pour ceux qui ne sont pas abonnés au Quotidien du médecin : https://www.lelibrepenseur.org/pr-francois-alla-jai-demissionne-du-haut-conseil-de-la-sante-publique-car-les-experts-nont-pas/