N'oublions pas les opportunistes carriéristes de LR de Xavier Bertrand, Michel Barnier, à Valérie Pécresse... qui deviendra pour l'occasion LR En Marche en appelant à voter pour l'extrême gauche au deuxième tour s'il ne reste que le RN et le Front Islamiste au deuxième tour.

Le programme démagogique classique du front islamiste des bonimenteurs des pro-hamas est destiné à attraper des pigeons, les mêmes qui ont crû au père noël soviétique en 1981, rien de nouveau. Ils nous font le coup à chaque élection, et quand ils gagnent, cela ne dure que le temps de ruiner l'économie. Autrefois quand la gauche prenait le pouvoir, l'économie, sans être au beau fixe, n'était pas encore en faillite comme aujourd'hui. Après 5 années de Hollande et maintenant les 7 années de Macron, poussée par la politique européenne, la France a aujourd'hui le plus gros déficit de toute l'Europe.

Le pote de Mélenchon Hugo Chavez avait appliqué un programme semblable au Venezuela. On connaît la suite, mais ce qu'il faut surtout en retenir c'est que sont les plus pauvres qui ont payé l'addition une fois le pays ruiné. La ruine de la France a débuté en 1981 avec l'arrivée de la gauche et ce sont les plus pauvres qui continuent de payer l'addition. Par contre les agioteurs n'ont jamais été aussi riches avec Macron.

Par contre le vrai programme de cette vieille gauche nauséabonde sera le suivant :

- Démantèlement des forces de l'ordre au profit de milices issues des antifas et black blocs.

- Dissolution des partis de droite et de toutes oppositions.

- Ouverture totale des frontières aux migrants issus du continent africain.

- Le gouvernement d'extrême gauche ne se contentera plus d'accueillir les migrants, il viendra les chercher sur place par avion ou par mer quitte à réquisitionner les bateaux de croisières à leurs profits.

Les naturalisations seront automatiques dés qu'ils auront mis le pied sur le territoire Français.

Et bien évidemment priorité aux migrants sur le logement social, la gauche a toujours été très généreuse au détriment des français qu'ils détestent, comme Macron.