Alors que la rue est en ébullition, que le parlement est devenu un véritable boxon tant grâce au comportement puéril de la secte mélenchoniste que celle du macronisme, que l'inflation, dont sa politique atlantiste en est la cause essentielle, arrive à un niveau qui bat tous les records...que fait l'innommable président? Il va porter des chrysanthèmes à Gisèle Halimi, la porte valise du FLN durant la guerre d'Algérie pour célébrer "la journée de la femme" ou journée du néo féminisme. Comme il fallait s'y attendre, après avoir bien géré les premières manifestations anti-réforme, il a laissé ou "envoyé" ses jeunes néonazis d'ultra gauche saccager la dernière manif en espérant un pourrissement rapide de la situation. Diviser pour régner, il ne faut pas oublier que le livre de chevet de Macron est Machiavel et que depuis son mémoire de philosophie, il se prend pour le petit prince de son auteur préféré, mais il a oublié que la haine et le mépris dont il fait preuve envers les français, sont proscris des leçons de Machiavel : « Le Prince, écrit Machiavel, doit penser à fuir les choses qui peuvent le rendre odieux ou méprisable ». Il aura fait tout l'inverse...en même temps, on ne peut pas lui demander de lutter contre sa véritable nature.

Gisèle Halimi, dont il a chanté les louanges aujourd'hui, avocate du FLN a "affiché en plusieurs occasions son mépris pour les harkis", notamment sur la radio Rance Inter, le 3 mai 2010, quand elle avait expliqué qu'elle appelait "femmes harkis" les femmes qu'elle considérait comme "ennemies de la femme". "Les femmes harkis, malheureusement, cela existe", a aussi assené l'avocate... 

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Malheureusement pour la gauche, elle n'a que des traîtres ou des renégats à honorer pour afficher ses valeurs, des valeurs qui lui ressemblent.