Il aura fallu plus d'un an à quelques rares médias pour découvrir le jeu de divertissement des milices d'extrême gauche qui se prétendent anti fascistes alors qu'elles devraient percevoir qu'elles sont en fait anti-eux, mais pour cela il faudrait qu'elles aient suffisamment de neurones, sinon elles se taperaient dessus dès qu'un miroir refléterait leur image.

Depuis que quelques médias et des députés de droite ont enfin dénoncé ce jeu d''extrême gauche qui appelle à la violence extrême, d'autres très à gauche, c'est à dire tous les médias subventionnés, se sont fait les avocats du jeu des groupuscules d'extrême gauche fasciste. Ils ont toujours démontré une certaine affection pour ces individus, et pour cause, ils sont issus du même milieu de tocards bobos écolos.

Le média américain City Journal se pose la question : Quelle sera la prochaine étape pour les "Antifa". A savoir que toutes les conneries made in USA débarquent très rapidement en France, surtout depuis internet, entre autre l'inculture woke.

Extrait traduit de https://www.city-journal.org/whats-next-for-antifa :

Émeutiers et assassins aux USA après la mort de George Floyd, Trump les avaient déclaré organisation terroriste, mais depuis l'arrivée de Biden, ils sont considérés comme les alliés fidèles des démocrates.

Dans la plupart des cas, la violence d'Antifa est employée contre des manifestants anodins. Par exemple, l'Afro-américain Proud Boy Philip Anderson a organisé une manifestation pré-électorale contre la censure technologique des conservateurs à San Francisco. Un partisan de Black Lives Matter portant une tenue de bloc noir de style Antifa a frappé Anderson, lui cassant les dents de devant. En septembre, Michael Reinoehl, membre d'Antifa, a ciblé et assassiné le partisan de Trump Aaron Danielson à Portland après un défilé de voitures.

Après les élections de la semaine dernière, ce ne sont pas les Proud Boys, les miliciens ou les «suprémacistes blancs» qui se sont livrés à la violence politique, mais Antifa. À Portland, les membres d'Antifa ont lancé des fusées éclairantes et ont fait briller des lasers à haute puissance sur la maison de banlieue du membre du conseil municipal Dan Ryan parce qu'il a voté contre un amendement visant à retirer le financement de la police. Les émeutiers d'Antifa ont également détruit les fenêtres d'une église du centre-ville. À Denver, Antifa a brisé des vitrines de magasins, brûlé des drapeaux américains et affiché des pancartes « Mort au fascisme et au libéralisme ». À Washington, DC, des assaillants vêtus de noir, peut-être des membres d'Antifa, ont poignardé Enrique Tarrio et une autre femme afro-américaine, Bevelyn Beatty, connue pour avoir vandalisé les peintures murales du BLM.

Dans le passé, l'activisme de gauche a pris la forme des mouvements anti-Organisation mondiale du commerce, anti-guerre en Irak et Occupy Wall Street. La principale cause d'Antifa est désormais Black Lives Matter, ce qui l'aligne efficacement sur le Parti démocrate et, ironiquement, sur les entreprises sponsors de BLM. Les responsables municipaux sympathiques de Berkeley, Charlottesville et Portland ont souvent évité de poursuivre les membres d'Antifa arrêtés pour des actes de vandalisme et de violence. En règle générale, les militants Antifa qui commettent des violences ou détruisent des biens sont renfloués par des groupes comme le Minnesota Freedom Fund, un fonds de cautionnement que Kamala Harris a exhorté ses partisans à soutenir après la mort de George Floyd.

En France et malgré tous les actes de violence extrême de ces milices fascistes, tous les gouvernements successifs ont fait preuve de laxisme envers eux. Aujourd'hui, comme aux États Unis, ils sont les idiots utiles de Macron pour lutter contre ses vrais adversaires politiques et leur violence n'aura bientôt plus de limites...comme aux États Unis.

PS : Étonnant que ces individus qui disent combattre le capitalisme font appel à la Fnac pour vendre leurs salades. C'est pourtant un modèle du type de commerce qu'ils haïssent.