Malgré tous les mensonges connus issus des gouvernements américains successifs pour amener les pays européens à participer à leurs guerres hégémoniques, nos crétins de dirigeants européens, pour la plupart issus de la mouvance des *"young leaders", restent inféodés aux gouvernements américains.

 Ce ne sont pourtant pas les exemples de mensonges criminels qui manquent :

Il y a eu le faux témoignage de bébés arrachés des couveuses au Koweït en 1990 que vous pouvez retrouver ICI.

Puis le faux poison brandi par Colin Powell à l'ONU en 2003...

On a eu aussi droit à l'affaire des faux charniers de Timisoara, et ce malgré que ce fait ne soit pas directement lié avec les USA, il a démontré le peu de confiance que l'on peut accorder aux médias qui se prévalent d'un modèle de vertu :

Les rédactions occidentales provoquent une polémique en accolant les photographies des corps exhumés à la morgue de Timisoara à des informations fantaisistes des médias roumains relayées par une agence de presse yougoslave :

- TF1 : « Ceaușescu, atteint de leucémie, aurait eu besoin de changer son sang tous les mois. Des jeunes gens vidés de leur sang auraient été découverts dans la forêt des Carpates. Ceaușescu vampire ? Comment y croire ? La rumeur avait annoncé des charniers. On les a trouvés à Timișoara. Et ce ne sont pas les derniers ». ( Etonnant qu'ils ne nous aient pas encore dit que Poutine mangeait les enfants pour soigner son supposé cancer...)

- Le magazine L'Événement du jeudi du 28 décembre 1989 titre même : « Dracula était communiste ».

- L'inénarrable Gérard Carreyrou lance un appel à la formation de brigades internationales prêtes à « Mourir à Bucarest ».

- Le quotidien Libération avec Serge July titre « Boucherie ». On y lit : « Timișoara libéré découvre un charnier. Des milliers de corps nus tout juste exhumés, terreux et mutilés, prix insupportable de son insurrection ».

- Le Monde félicite La Cinq d'avoir « révélé l'horrible charnier des victimes des manifestations du dimanche précédent »...

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La crédulité des français face à leurs médias et à leurs dirigeants fait penser à cette vieille histoire belge :

Deux belges marchent dans la rue. Soudain, ils aperçoivent une déjection animale :

– Dis tu crois que c’est une merde de chien ?

– Je ne sais pas, goûte !

L’autre met son doigt dedans et répond :

– Oui, il me semble bien.

– Attend, je goûte aussi !

Il met lui aussi son doigt dedans et le lèche soigneusement :

– Ouais, ça c’est de la merde de chien.

– Eh ben, heureusement qu’on a pas marché dedans !

Une quantité non négligeable de français en sont réduit là, mais en pire puisque après avoir goûté à la merde durant 5 ans, ils rempilent pour 5 ans de plus et il y en a même qui seraient prêts à goûter la merde stalinienne de Mélenchon.

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*Young leaders, Que l'on pourrait traduire "jeune crétins atlantistes" est un machin qui n'aurait pas déplu à l’anti gaulliste Jean Monnet. Officialisé en 1976 à Washington par Giscard d’Estaing et Gerald Ford, il se donne pour objectif d'encourager un dialogue actif entre les deux pays. L'une de ses activités principales est l'organisation de séminaires pour des jeunes dirigeants (Young Leaders) français et américains issus de la politique, de la finance ou de la presse « à fort potentiel de leadership et appelés à jouer un rôle important dans leur pays et dans les relations franco-américaines. » Ces séminaires sont un des instruments du soft power américain.

Voir ICI la liste française de ceux qui y ont participé.

On peut entre autre y remarquer la présence de Macron, ce qui n'est pas une surprise puisqu'il a été particulièrement remarqué par ses pairs qui l'ont propulsé à la présidence de la république: le guignol mégalo parfait au service des States.

Côté américain, on y trouve la crème de la gauche américaine : Hillary Clinton, Bill Clinton et Barack Obama.