Il aurait pu se prénommer Léon tant il est camé Léon. Comme tous les centristes : il est de gauche avec la gauche et de droite avec la droite mais il est issu d'un cabinet de Hollande, le spécialiste des étrons et cela se sent.

Il ne manque jamais une occasion de se masturber publiquement, cette fois c'est avec les zobs secs de Delors (en barre). Dans ses envolées lyriques en guise d'oraison funèbre, il se veut maintenant être le successeur du père de la grosse maire de Lille, pas de quoi être fier.

Rendre hommage à Delors, c'est rendre hommage à la destruction de la souveraineté démocratique française au profit de l'Allemagne, pour cela Macron est digne de parachever le travail de sape de Delors.

Delors c'était surtout l'artisan du traité de Maastricht qui a marqué le départ de la France vers le néant. Un traité que plus de 80% d'électeurs avaient eu la paresse de lire alors qu'il préconisait déjà la perte de la souveraineté de la France au profit d'une secte d'eurocrates non représentatifs. Les électeurs se sont laissés bernés par les sirènes médiatiques qui affirmaient que ce traité allait devenir le nirvana des européens. Les agents de Frontex qui devaient garder les frontières extérieures de l'espace Schengen, sont devenus des assistants sociaux pour accueillir les clandestins.

On en paie les conséquences aujourd'hui avec l'arrivée massive de clandestins que l'UE et Macron n'ont pas la volonté de juguler, bien au contraire, elle l'encourage puisque l'UE subventionne les bateaux de passeurs et les associations qui gèrent les clandestins avec l'argent public. Par contre il n'y a plus assez d'argent pour aider les sinistrés du Pas-de-Calais. Macron leur a juste envoyé deux de ses clowns pour les consoler : Béchu et Véran qui ont dû se payer une paire de bottes pour ne pas mouiller leurs petits petons. En macronie, on évite toujours de se mouiller.