Il y va de la survie de la France.

Pour la seconde fois, Macron aura affiché sa préférence européiste contre la France en exhibant son torchon bleu censé représenter l'Europe sous l'Arc de Triomphe. Il instrumentalise le conflit en Ukraine pour faire valoir qu'il faut une Europe fédérale qui transformera les Etats en simples provinces dirigées par des gouverneurs qui auront pour tâche de faire appliquer les directives de Bruxelles. Il se prend à rêver de devenir le président de cette Europe.

Et il compte s'y prendre comment pour contraindre les Etats à accepter sa folie mégalomaniaque? Certainement pas par référendum...comme Sarkozy et Hollande, il y est allergique comme il l'est de la démocratie. Alors il reste l'assemblée nationale composée de godillots européistes qui voteront pour cette Europe sans hésiter sur le dos d'un peuple muselé.

Lors de sa prestation avec ses homologues venus se faire rincer  à Versailles aux frais des français, il a déclaré que ses collègues étaient en accord avec lui pour réarmer l'Europe...n'étant pas assurés de retrouver un tel benêt pour diriger la France, peut-être ne veulent-il pas lui faire de l'ombre durant la campagne électorale... Mais où iront-ils se fournir pour s'équiper? Chez leurs amis américains comme cela a toujours été. Quand l'Allemagne dit qu'elle va investir 100 milliards d'euros pour sa défense ce n'est certainement pas pour nous acheter des rafales ou autre armement. Pour arriver à ses fins, Macron est prêt à proposer de partager notre siège à l'Onu et, si modeste soit-elle, notre force nucléaire avec notre ancien ennemi qui devait en conséquence ne plus pouvoir se réarmer.

Pathétique d'entendre un Macron s'apitoyer sur le sort des ukrainiens alors qu'il a maintes fois démontré qu'il méprisait ses semblables qui  pour lui ne sont rien, ou que des illettrés...Les ukrainiens ne sont pour lui que des jouets qui arrivent comme une manne comme l'a été le covid, et dont il se sert aujourd'hui pour faire aboutir ses ambitions délirantes.

Extrait d'un des programmes européens dans lequel Macron veut nous soumettre :