Plutôt que de répondre de sa responsabilité pour le crime de la petite Lola, le gros bouffi de haine envers les français, a vomi son fiel sur ses interlocuteurs à l'assemblée nationale, tout comme sa cheffe Borne. Leurs ennemis ne sont pas les criminels d'importation, mais les français qui leurs demandent des comptes.

Il y a aussi la pression politique sur les familles de victimes, Patrick Jardin, père d'une victime du Bataclan, avait été qualifié par l'immonde média le Monde, de «père haineux» dans le titre de son portrait, et décrit extensivement son «militantisme d'extrême droite virulent».
https://www.lemonde.fr/long-format/article/2018/09/28/apres-le-bataclan-un-pere-sur-le-chemin-de-la-haine_5361248_5345421.html
Le comble, c'est que ces trous du cul qui prêchent le "vous n'aurez pas ma haine" transpirent de haine contre les français qui ne partagent leurs idées criminelles, ils ont une haine à géométrie variable et adorent les islamistes par lâcheté, en espérant sans doute être épargnés de la cruauté de leurs petits protégés...comme les collabos durant l'occupation.
Cette grande tolérance des bobos vis à vis de la violence islamiste peut s'expliquer par leur égocentrisme démesuré même envers leur proche en se disant, "ce n'est pas si grave...cela aurait pu être moi".

L'indécence, ce sont eux, ils sont tous co-responsables des crimes de leurs protégés.

Ils auraient tant aimé que ce crime passe dans la rubrique des faits divers comme pour tous les autres crimes quotidiens issus de l'immigration clandestine, sauf que là il s'agit d'une gamine de 12 ans lâchement assassinée par une salope qui devait être expulsée du territoire et que le laxisme du gouvernement a permis de rester sur le territoire. Certains médias commencent même à citer une supposée enfance malheureuse de la criminelle.

Il y a eu le petit Aylan avec un conditionnement photographique mondial tel qu'il a poussé la mère Kel a recevoir 1 million de clandestins à partager avec les autres pays européens sans demander l'avis des autres partenaires et ont conduit à une série de crimes comme à Cologne. Ce n'était pas de l'indécence? ce n'était pas de l'instrumentalisation?

Puis il y a eu Georges Floyd...où l'indécence n'était pas de mise quand la vidéo de sa mort tournait en boucle sur tous les médias du monde de la gauchosphère.

Cela a conduit toute la gauche et surtout l'ultra gauche de Mélenchon a exprimer son amour pour les délinquants issus de l'immigration et leur haine viscérale envers la police...

Avec la complicité des merdias de la gauche américaine, la tête de loup Assa Traoré en est devenue la vedette française internationale des hypers gauchistes anti-flics.

 Tout cela s'est fait avec la complicité de tous les médias qui aujourd'hui crient au scandale le fait de rappeler leur responsabilité coupable et celle du gouvernement qu'ils vénèrent pour le meurtre de la petite Lola...mais n'y voyons pas là une récupération de la mort de Georges Floyd bien sûr, non non non...ils sont le camp du bien.

Auparavant ,sous Hollande, nous avions déjà eu le trou de balles de Théo. Avec Hollande, cela faisait deux.

Cet horrible meurtre tombe mal au moment où E. Borne et 16 ministres reviennent d'Algérie après avoir négocié plus de visas en échange de gaz ou de pétrole...
et pour répondre aux demandes de l'opposition, la réponse de Macron ne s'est pas fait attendre : il a importé une nouvelle cargaison de terroristes islamistes qu'il prétend dératiser pour en faire de petites souris inoffensives.
https://www.francetvinfo.fr/monde/revolte-en-syrie/syrie-la-france-a-rapatrie-15-femmes-et-40-enfants-des-camps-de-prisonniers-jihadistes_5428939.html

Pendant que la France découvrait avec horreur les détails sordides de l'assassinat de la petite Lola, Macron se focalisait sur Benzema et son Ballon d'Or. On a les dirigeants qu'on mérite.

Le comble c'est que tous ces morveux soutiennent le mouvement de protestation des iraniennes, et en même temps se font complices de leurs bourreaux.

En Europe, il est interdit d'être nationaliste sauf pour l'Ukraine.

PS : Sandrine Rousseau dénie le terme de francocide, si un jour un de ses protégés la trucide, ce ne sera ni un francocide ni un  féminicide, ce sera juste un connicide.